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dimanche, 02 octobre 2016

Le pape François pleure correctement Shimon Pérès

Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2016

par 30 septembre 2016

VATICAN CITY, VATICAN - JUNE 08: Pope Francis (L) meets Israeli President Shimon Peres for a peace invocation prayer at the Vatican Gardens on June 8, 2014 in Vatican City, Vatican. Pope Francis invited Israeli President Shimon Peres and Palestinian President Mahmoud Abbas to the encounter on May 25th during his visit to the Holy Land. (Photo by Franco Origlia/Getty Images)

Prix nobel de la Paix, « conscience de l’humanité », « bâtisseur de paix infatigable », pleuré par tous les bien-pensants et médias au collier de la planète, Shimon Pérès est enterré aujourd’hui, vendredi 30 octobre 2016, à Jérusalem, et sera inhumé au cimetière du mont Herzl, dans le carré réservé aux « grands dirigeants de la nation ». Tous les grands dirigeants de la planète se sont donnés rendez-vous à cet événement de portée mondiale où il est bon, pour leur image de marque politiquement correcte, d’être, avec la mine attristée de préférence. C’est « être » pour éviter de « ne pas être »et de finir politiquement dans le néant !

François, l’hôte du Vatican, en partance pour son voyage en Géorgie et Azerbaïdjan, est présent en pensée, unique bien entendu, et a rendu son hommage bergoglien à ce père fondateur de l’État d’Israël, conformément à la mentalité dominante. Dans un message de condoléances en anglais envoyé à l’actuel président Reuven Rivlin, le pape François a écrit :

« Profondément attristé par la disparition de Son Excellence Shimon Pérès, je désire adresser à vous et à tout le peuple d’Israël mes plus sincères condoléances. Je me souviens avec affection du temps passé avec monsieur Pérès au Vatican et je redis ma grande reconnaissance pour les efforts infatigables en faveur de la paix de l’ex-président. Tandis que l’État d’Israël pleure Shimon Pérès, j’espère que sa mémoire et ses nombreuses années de service inspirent à tous le souci de travailler avec encore plus d’urgence pour la paix et la réconciliation. De cette manière, son hérétage sera vraiment honoré et le bien commun auquel il a travaillé avec tant d’engagement trouvera de nouvelles expressions, pendant que l’humanité tente d’avancer sur la route d’une paix durable. Avec l’assurance de mes prières pour tous ceux qui sont en deuil, j’invoque la divine bénédiction de consolation et force sur toute la nation. »

Ce n’est évidemment pas la bénédiction du Crucifié qu’il leur a adressé !

Pour saisir toute l’imposture et le mensonge de cet hommage mondial, il est bon d’écouter l’analyse de Jean-Michel Vernochet et Youssef Hindi qui donne quelques réponses à la question : « Shimon Pérès, artisan de paix ? »

Ils nous rappellent que ce héros de la paix était « un socialiste« . Qu’il fut « le grand architecte de la puissance nucléaire israélienne, moyen de chantage vers les puissances européennes, puissance dont personne ne parle. » Qu’il avait l’apparence du pacifiste alors qu’il fut l’artisan de la guerre préventive. « Ce bâtisseur de paix » dont les conséquences directes de sa politique en faveur d’Israël sont, dans le voisinage d’Israël, d’avoir instauré le chaos partout. Comme président et premier ministre, Shimon Pérès eut également la responsabilité de la colonisation de la Cisjordanie : comme homme de paix, « il a créé les conditions d’un conflit perpétuel. »

Pour citer Youssef Hindi : « Nous sommes dans un monde orwellien, « la paix, c’est la guerre, la liberté c’est l’esclavage ». De ce point de vue là, Shimon Pérès a œuvré pour cette paix qui, du point de vue des Israéliens, est synonyme de guerres et de destructions. »

« Il y avait la vérité, il y avait le mensonge, et si l’on s’accrochait à la vérité, même contre le monde entier, on n’était pas fou. » George Orwell in 1984.

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.infol

jeudi, 22 septembre 2016

LE PAPE FRANCOIS NE FAIT PAS L’UNANIMITE EN ITALIE

Publié par Guy Jovelin le 22 septembre 2016

mercredi 21 septembre 2016, par Michel Dantan

Résultat de recherche d'images pour "pape françois et islam"Le pape François n’est pas en odeur de sainteté auprès de la Ligue du Nord. A l’occasion de la fête annuelle de son parti la Ligue du Nord, le leader Matteo Salvini devant un parterre de militants revêtus de chemises portant l’inscription « Mon Pape c’est Benoit XVI) a déclaré « Je n’aime pas celui qui ouvre les églises à des imams » et pour être bien compris, ajouté que le pape Benoît XVI lui, avait les idées claires à propos de ce qu’il fallait penser de l’Islam. Autrement dit selon son point de vue, du moins en ce qui concerne l’Islam, le pape ferait rimer esprit large avec idées courtes. Le leader populiste s’en est également pris aux technocrates de Bruxelles et au passage confesser l’admiration que lui inspirait la personnalité de Vladimir Poutine.

 

Source : national-hebdo

samedi, 30 juillet 2016

Auschwitz, le silence du pape François et la satisfaction de la communauté juive

Publié par Guy Jovelin le 30 juillet 2016

papefrançois auschwitzIl est des morts qu’on oublie, il est des morts qu’on « mémorise »!

En séjour en Pologne pour les JMJ, le pape François a fait une visite obligée au camp de concentration d’Auschwitz, hier, vendredi 29 juillet 2016. A la suite de Jean-Paul II et de Benoît XVI qui pareillement, lors de leur voyage apostolique en cette terre martyr de la barbarie communiste, s’étaient sentis dans l’obligation d’aller faire « leur devoir de mémoire », sous les caméras internationales, en ce lieu symbole de la deuxième Guerre Mondiale pour la communauté juive.

Dans un pays qui a connu jusqu’à récemment la terrible dictature communiste athée avec son cortège funèbre de martyrs, de morts, d’horreurs indicibles, cette monstrueuse idéologie messianique pour la régénérescence de l’humanité qui a fait de la Pologne et autres pays satellites de l’URSS de vastes camps de concentration à ciel ouvert, cette sélection mémorielle de la part des papes conciliaires laisse songeur. Y aurait-il des morts plus importants que d’autres, des lieux devenus sacrés pour l’éternité et des forêts de Katyn à oublier, une histoire, marxiste, à enterrer au nom de la paix, et une autre, fasciste, à raviver sans cesse au nom de cette même paix ?

Avant 1945, le sacrifice de la Croix, que l’on croyait ou non en Jésus-Christ Fils de Dieu incarné, était l’événement central de l’histoire humaine, le Drame unique qui a bouleversé le monde et manifesté un nouvel âge. Au cours du XXe siècle finissant, le monde s’est déporté du Calvaire à Auschwitz. L’holocauste juif a supplanté la Croix de Jésus-Christ. La Shoah, le dogme unique, se dresse sur l’humanité. Elle est l’axe autour duquel s’articule toute la vie politique, civile, religieuse des peuples et des nations, la colonne vertébrale sur laquelle repose toute la pensée post-moderne, historique, philosophique, théologique, le pilier auquel est lié, de façon indéfectible, le monde en décomposition. Elle édifie le New Age de la renaissance de l’Homme.

Quoi d’étonnant alors que la communauté juive mondiale ait exprimé, de diverses façons, sa vive satisfaction pour le déroulement silencieux de cette rencontre entre le pape François et ce que la pensée officielle retient comme l‘Indicible qui a jamais été commis dans les annales de l’humanité. Si la présidente de l’Union des communautés juives italiennes, Noémie De Segni, avait par avance salué « la sobriété » de la visite pontificale à Auschwitz, différentes personnalités juives ont choisi de la commenter le jour-même.

Ronald Lauder, le président du World Jewish Congress, a tenu à évoquer « un signal fort contre la haine ».

« Ne pas prononcer de discours, écrit-il dans une note diffusée par la presse, durant la visite s’est révélé un choix opportun, ainsi que de prier en silence avec qui aujourd’hui, en ces lieux, rendaient hommage à la mémoire de ces hommes, ces femmes et ces enfants tués dans le camp. Auschwitz est un avertissement permanent de ce qui peut arriver quand on consent à la haine de puissance, quand le monde reste en silence face au mal et regarde autre part quand des crimes indicibles sont commis à côté. »

Pour cette autorité juive morale mondiale, le pape François, nous dit-il est

« un des plus proches alliés que les juifs ont aujourd’hui dans la lutte contre l’anti-sémitisme, le fanatisme et la haine. Jamais au cours des derniers deux mille ans les relations entre nous n’ont été aussi étroites. Nous remercions le pape pour avoir été à Auschwitz. Sa visite envoie un signal important au monde pour que ce chapitre noir de l’histoire ne soit jamais oublié et la vérité sur ce qui est arrivé ne soit pas occultée. »

L’ex-président de l’Assemblée des Rabbins d’Italie, Elia Richetti, a témoigné également de son contentement. Il s’est dit frappé, outre par le silence qui a caractérisé la visite, par la décision du pape d’entrer et de sortir à pied du camp : « Ce sont des signes d’attention et de respect importants », convaincu par ailleurs que la sensibilité démontrée ait mis à l’abri cet événement « d’une quelconque forme d’instrumentalisation. »

« Cette visite a été une importante pro-mémoire pour le monde, sur combien profond peut être le manque d’humanité et sur la façon unique dont l’histoire juive témoigne de ce fait »

a expliqué de son côté, au Jérusalem Post, le rabbin David Rosen, le directeur pour les Affaires inter-religieuses de l’American Jewish Committee et le promoteur fervent de nombreuses initiatives de dialogue avec le Vatican.

Lui-aussi s’est extasié devant le silence de François qui les a tous conquis :

« Les seules paroles publiques qui ont résonné ont été celles du psaumes 130 et le Kaddish, pour mettre bien en évidence l’importance proprement juive de ce lieux. Surtout, la prière silencieuse a été une expression éloquente de combien les paroles sont inutiles face à de tels événements. Le silence parle de manière encore plus puissante. »

Et il ajoute, en conclusion, cette considération intéressante mais aussi lourde de conséquences futures pour la liberté de l’Église :

« Dans la tradition juive une chose qui se répète trois fois est une chazakah (une coutume qui acquiert une valeur légale). Aujourd’hui, ce sont bien trois papes qui ont visité Auschwitz. Je crois donc que dorénavant cela deviendra un passage obligé de chaque itinéraire pontifical. »

Subtil avertissement aux futurs pontifes inéluctablement voués à se soumettre, par « devoir de mémoire », aux lois et coutumes juives ?

Insinuation indirecte à l’inféodation actuelle des papes conciliaires à la communauté juive mondiale ?

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse.info

vendredi, 29 juillet 2016

Prêtre égorgé : le Pape appelle à accueillir plus d’immigrés et encourage les jeunes des JMJ à faire « du boucan » la nuit…

Publié par Guy Jovelin le 29 juillet 2016

pape-cracoviePropos surréalistes du pape François à Cracovie : tout le monde est sous le choc en pensant au prêtre égorgé par deux djihadistes mais le pape demande d’accueillir encore plus d’immigrés et appelle les jeunes réunis pour les JMJ à faire « du boucan » toute la nuit. 


Le pape invite les jeunes à faire du « boucan » aux JMJ

 

Source : medias-presse.info

samedi, 23 avril 2016

Les vœux du pape François à la communauté juive pour leur fête de Pâque

Publié par Guy Jovelin le 23 avril 2016

pape_francois_juifA l’occasion de la Pâque juive qui commencera le vendredi 22 avril au soir pour se terminer le 30 avril, le pape François a envoyé un télégramme au Grand Rabbin de Rome, Riccardo Di Segni, dans lequel il se remémore sa visite du 17 janvier dernier à la grande synagogue de la capitale italienne  :

« En me souvenant avec gratitude de notre rencontre du 17 janvier dernier, quand j’ai été cordialement accueilli par la Communauté juive de la ville et par vous-même dans la grande synagogue, je désire exprimer mes plus sincères vœux pour la fête de Pesach. Elle rappelle que le Tout-Puissant a libéré son peuple bien-aimé de l’esclavage et l’a conduit à la Terre promise.  Il vous accompagne encore aujourd’hui avec l’abondance de ses bénédictions, protège votre Communauté et, dans sa miséricorde, donne à chacun la paix. Je vous demande de prier pour moi et je vous assure de ma prière pour vous. »

Le Pape a notamment demandé que «le Tout-Puissant nous accorde de pouvoir grandir de plus en plus dans l’amitié

Nous ne pouvons qu’être douloureusement bouleversés, à la lecture de ces vœux retranscrits dans la presse, par ce message pontifical. Qui laisse accroire que Dieu protège et bénit le peuple juif, dans ses observances hébraïques, alors que les juifs ne croient pourtant pas en Son Fils bien-aimé, Jésus-Christ.  Saint Paul avait bien dit d’ailleurs : « il y a abolition de la première ordonnance, à cause de son impuissance et de son inutilité. » (Heb 7, 18).  Dont voici un commentaire éclairant : « C’est pourquoi aussi la pratique des observances judaïques aujourd’hui a quelque chose du blasphème, car, outre leur inutilité, elles impliquent l’affirmation que le Sauveur qu’elles préfigurent n’est pas encore venu. » 

Aucun souhait de conversion pour ce peuple infidèle qui a refusé le Messie, Jésus-Christ. Bien au contraire, le pape François les encourage à rester dans leur religion en leur faisant croire à la bénédiction tout-à-fait spéciale du Tout-Puissant sur eux ! Mensonge.

Ces vœux de François à la communauté juive de Rome ne sont qu’un des fruits empoisonnés de la nouvelle vision conciliaire exprimée dans la Déclaration Nostra Aetate concernant le peuple juif et celles qui lui ont fait suite. Nouvelle doctrine erronée née de l’abandon de la doctrine traditionnelle qui prêche la nécessité de la conversion des juifs à la suite de Saint Pierre qui avait dit aux juifs de Jérusalem :

« Faites pénitence, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car c’est pour vous qu’est la promesse, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » (Ac 2, 38-39)

Francesca de Villasmundo

 

Source : medias-presse